Pour relever le défi, il est nécessaire, pour le Centre Ouest-africain, de service scientifique sur le changement et l’utilisation adaptée des terres (Wascal), de développer des capacités scientifiques et organisationnelles, d’identifier les questions prioritaires liées au changement climatique, ainsi que les capacités et les besoins de recherche au plan national.
Lors de la conférence de Paris de 2015 sur le climat, la communauté internationale a pris des engagements forts pour réduire le réchauffement climatique.
L’Afrique de l’Ouest est l’une des régions du monde vulnérable aux impacts des changements climatiques.
Chaque pays devait y contribuer et adopter une politique adéquate d’utilisation des terres et le Burkina Faso, pays sahélien, est fortement préoccupé par ces problèmes.
D’où la tenue de cette journée de consultations nationales, qui a réuni tous les acteurs du domaine, le vendredi 22 janvier 2016, à Ouagadougou.