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WASCAL‘s first graduates – Ten students successfully completed their Master‘s degree in Climate Change and Adapted Land Use at FUT-Minna

Thirteenth (13th) October 2014 will remain a ‘memorable day’ in the history of WASCAL CC & ALU hosted by the Federal University of Technology, Minna. The MRP scored a big first in the WASCAL programme….sending forth the first set of WASCAL graduates into the research community to give back to the world after the huge investment on them as scientists. Two years of hard work finally paid off.

Our August dignitaries graced the occasion. Prof Musbau A. Akanji (the Vice Chancellor of the Federal University of Technology, Minna) and his team of Principal Officers received the guests which comprised the Honorable Minister of Environment of Nigeria, who was very unavoidably absent but ably represented by Dr Jare Adejuwon, the Director of Climate Change Department in the Ministry; the German Ambassador to Nigeria who was ably represented by Mr Dirk Schulz; Chairman of WASCAL Board (Prof Haidara), WASCAL Board member representing Nigeria and Second Vice Chairman (Prof Osuntogun); Executive Director and his team (Dr Sedogo, Ouattara and Mr Ofori); The Vice Chancellor of FUTA ably represented by Prof Bayo Omotosho; representatives of our two German Partner Universities (Dr Thiel and Mrs Boutros, who is also the GRP/MRP Coordinator of WASCAL); members of WASCAL CC&ALU International Regional Advisory Board comprising Prof Bayo Omotosho (Director WACS FUTA), Dr Eric Forkuo (representing KNUST), Dr Georges Abbey (representing University of Lome), Mrs Christine K (from HBF representing the Civil Society), Dr Jare Adejuwon (representing Focal Ministry); members of FUT Minna Advisory Board led by the Dean of Postgraduate School, Prof (Mrs) Stella Zubairu; staff and students of WASCAL and representatives of the Press.

The ‘big day’ tagged WASCAL DAY commenced with the ceremony marking the graduation of the 2012/2013 Batch of WASCAL CC &ALU students. While the sponsoring Ministry in Germany, BMBF was showered with gratitude for the foresight demonstrated through the WASCAL programme, congratulatory and encouraging messages were passed on to the students to be worthy Ambassadors of WASCAL. The commitment of the Nigerian Government to the successful implementation of WASCAL was emphasized by the Honourable Minister’s representative. To add glamour to the occasion, the traditional dancers, Gwape Troupe, invited to entertain the guests decided to invite dignitaries to the ‘shake body’ to the entertaining music. From there, the newly completed WASCAL CC & ALU building was commissioned. The guests were introduced to WASCAL by the Director CC & ALU at the reception, while along the corridors of this simple but beautiful building, A0 Size posters were exhibited showcasing the students’ research. Each student stood beside his/her poster to explain the content to the guests. During the luncheon organized to round up activities for the day, three students were recognized and presented with personalized plaques: Mr SANOGO, Karamoko (Most improrved student); Miss KIMA, Sophie A. (Best Research); and Mr ADENLE, Ademola Andrew (The Overall Best Student). The 2012/2013 Batch of WASCAL CC & ALU graduates have since left for their various countries as the very first ALUMNI of the programme. The Director of CC&ALU gratefully acknowledges the contribution of the University Management, guests and WASCAL staff and students to the success of the WASCAL DAY in FUT Minna.

Read more on the event at http://www.futminna.edu.ng/index.php?option=com_content&view=article&id=1095&Itemid=

Contact

Dr. Appollonia Okhimamhe
Director of the Master Research Program Climate Change and Adapted Land Use
Associate Professor of Geography
Head, Department of Geography
Federal University of Technology,
Minna
PMB 65, Niger State, NIGERIA
Email: aimiosino(at)yahoo.com

Mesurer la pluviométrie grâce à la téléphonie mobile

Lecture rapide

La technologie mise au point par une équipe internationale de chercheurs, repose sur certaines particularités connues des ondes électromagnétiques
Elle permet de mesurer la pluviométrie avec une plus grande efficacité que les outils traditionnels utilisés par la plupart des pays africains
De nombreuses applications sont envisagées, notamment dans le secteur agricole.

Par: Mathieu Bonkoungou

Une équipe de chercheurs du Laboratoire de Matériaux et Environnement (LAME) de l’Université de Ouagadougou, en collaboration avec des chercheurs de l’Institut français de Recherche et de Développement (IRD) vient de mettre au point une technique permettant de mesurer la pluviométrie, en se basant sur des informations recueillies par les opérateurs de téléphonie mobile, dans la transmission du signal entre deux pylônes.

Les résultats de l’étude menée au Burkina ont été publiés en juillet dernier dans la revue “Geophysical Research Letters”.

François Zougmoré, professeur titulaire de physique à l’université de Ouagadougou et directeur du LAME, les étudiants doctorants Ali Doumounia et Modeste Kacou, Frédéric Cazenave, ingénieur de recherche au Laboratoire d’études des transferts en hydrologie et environnement à Grenoble et à l’IRD et leur collaboratrice, Marielle Gosset, du Laboratoire Géosciences Environnement de Toulouse, sont partis du principe connu de l’atténuation du signal hertzien par les gouttes d’eau.

“Quand une onde dans sa propagation rencontre des gouttelettes d’eau, même la vapeur (mais l’action est plus visible avec les gouttelettes d’eau), il y a une partie qui est absorbée, c’est-à-dire prise par la matière qui est traversée, une autre partie est réfléchie, c’est-à-dire diffusée, et une troisième est transmise”, explique François Zougmoré.

“En général, la partie qui est transmise est d’un point de vue de la puissance, plus faible que la partie incidente”, poursuit le chercheur.

“Au niveau des opérateurs de télécommunication, l’action de la pluie est suivie avec attention. Entre deux pylônes, ils mesurent de façon régulière et systématique la puissance qui a été émise et la puissance qui a été reçue. Entre le moment où ils envoient et le moment où ils reçoivent, ils ont le temps de mesurer et de voir, s’il y a eu un abaissement ou une diminution importante de la puissance. Si la puissance diminuée est importante et ne permet pas une bonne réception, les opérateurs réajustent en augmentant la puissance, afin de permettre la poursuite ou la continuité de la réception par les abonnés.”

Ces mesures systématiques permettent de pouvoir remonter et de trouver la quantité d’eau qui a perturbé l’onde.

Le travail des chercheurs repose donc sur la capacité de trouver la quantité de pluie tombée, en partant de l’atténuation de l’onde.

L’un des avantages que présente cette innovation est qu’il est plus fiable que les pluviographes utilisés par les services de la météorologie, au niveau national.

“Ces fluviographes ne présentent que 400 cm2 comme surface de captation. Il faudrait donc placer une quantité énorme de pluviographes pour savoir la quantité d’eau tombée sur une grande superficie et la météorologie nationale n’en a pas les moyens”, explique encore François Zougmaré.

Les pylônes de la téléphonie mobile couvrent densément le territoire, même les zones les plus reculées du pays.

La compagnie de téléphonie mobile Telecel avec laquelle les chercheurs ont collaboré pendant la durée de l’étude dispose d’un pylône tous les 30 km.

Sur cette distance, les chercheurs ont pu savoir quelle est la quantité de pluie tombée, vu que l’onde aura parcouru cette distance et c’est sur cette distance que l’intégration est effectuée.

Les autres méthodes, le radar et le satellite, sont certes précis, mais hors de prix pour la plupart des pays africains.

Quant aux applications qui pourraient résulter de cette découverte, les chercheurs sont intarissables.

Un atout pour l’agriculture

En menant l’étude, l’objectif principal des chercheurs était de mettre à des données fiables et gratuites sur la pluviométrie à la disposition des chercheurs, pour la réalisation de modèles hydrologiques et des médecins qui travaillent sur le paludisme, afin de leur permettre de prendre en compte les problèmes de paludisme dans certaines régions affectées par les inondations.

L’étude avait également pour objet de permettre aux décideurs d’avoir des données pluviométriques fiables susceptibles de leur permettre de prendre les dispositions idoines en cas d’inondation.

Pour Modeste Kacou, étudiant en thèse de physique de l’atmosphère, “l’objectif visé est d’arriver à améliorer les connaissances sur les différents systèmes pluvieux, afin de mettre en place à court ou moyen terme, des systèmes d’alerte qui permettraient de réduire l’impact des phénomènes météorologiques sur les populations”.

Selon Ali Doumounia, la technique permet également de localiser rapidement les poches de sécheresse annonciatrices de déficits céréaliers.

“Nous sommes dans la zone sahélo-sahélienne et environ 78% de la population burkinabé ne vivent que de l’agriculture pluviale. Donc quantifier la pluie pourra permettre à ces populations d’aborder un peu plus tôt la saison des pluies, explique le chercheur, dont la thèse porte sur le sujet de la quantification de la pluie à partir des liens hertziens.

“Nous connaissons l’importance de l’eau pour un pays agricole comme le Burkina Faso. Il est bon de savoir la quantité d’eau tombée pour le remplissage des barrages hydro-électriques et pour faire des prévisions. Et même pour le changement climatique. Pour pouvoir faire des projections, il faut avoir des informations fiables et donc actuelles. Si nous arrivons donc à donner des informations fiables sur les quantités de pluies, nous pourrons sur cette base avoir de meilleures projections par rapport au modèle climatique.”

Les chercheurs estiment que technologie mise au point pourrait également être intégrée dans les services météorologiques d’autres pays africains.

“Il n’y en a pas beaucoup qui ont des radars, alors qu’ils sont couverts par la téléphonie mobile. Par exemple la compagnie Airtel couvre à elle seule 85% du territoire africain. Donc si Airtel livre déjà les données qu’elle a en sa possession, cela pourrait être suffisant pour donner des informations sur cette étendue. Nous ne comptons pas garder cette innovation pour nous”, explique le chercheur.

Les initiateurs envisagent du reste de former des membres des services météorologiques du Mali, du Niger et du Togo, entre autres, pour qu’ils apprennent à utiliser le dispositif afin de réaliser des cartes des précipitations et aident à la prévision et à la prévention des risques d’inondation de famine”.

Opérationnaliser au plus vite

Mais pour que cette innovation donne la pleine mesure de ses capacités, il faut l’opérationnaliser.

Selon François Zougmoré, si cette technique venait à être opérationnalisée, “un paysan sur son téléphone portable, pourrait interroger une base de données et savoir quelle est la quantité de pluie qui vient de tomber.”

“Nous ne faisons pas de prévision, mais nous donnons la quantité de pluie mesurée. Les paysans attendent parfois la pluie pour semer. L’information sur les quantités de pluie pourra leur permettre de prendre la bonne décision et de gérer leur saison, mais c’est l’opérationnalisation qui permettra cela. Si on a les informations, on les traitera au jour le jour et cela sera possible en temps réel.”

Selon le chercheur, l’aspect scientifique est réglé, il reste à passer à l’opérationnalisation et cette phase pourrait être sponsorisée par un opérateur ou des autorités politiques.

Ali Doumounia insiste pour sa part sur les avantages de la technique: “Elle est très avantageuse. Elle ne nécessite pas de coût pour les opérateurs de téléphonie mobile ni pour les laboratoires. Nous avons juste besoin des moyens techniques et de personnes bien décidées pour la mettre en œuvre.

Les chercheurs lancent donc un appel aux compagnies de téléphonie mobile opérant sur le continent afin qu’elles coopèrent et mettent les données sur l’affaiblissement de leurs signaux à leur disposition.
L’opération, insistent-ils, n’a aucune incidence sur le réseau et ne provoque aucune perturbation.

Pour la mise en œuvre de cette technologie, un consortium a été mis en place comprenant l’université de Ouagadougou, le West African Science Service Center on Climate Change and Adapted Land Use (WASCAL), l’IRD, le Karlsruhe Institute of Technology et Garmisch-Partenkirchen en Allemagne.
Ces différentes entités font partie de Rain Cell Burkina, précurseur de Rain Cell Africa.

En novembre prochain, un premier atelier sera organisé à Ouagadougou sur la quantification de la pluie a partir des liens hertziens commerciaux.
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2014 World Agriculture Prize awarded to world-renowned soil scientist Paul Vlek, former Executive Director of WASCAL

In his early career Paul Vlek researched the benefits in preventing nitrogen (N) losses by deep-placement of urea in flooded rice, a technology now applied on over 2 million ha of rice cultivation today. However having experienced the long delay between discovery and adoption of this technology, Paul Vlek drew attention “to the all too often delay between invention of new agricultural practice and adoption which can run into decades. New approaches in agricultural research are needed to avoid such time lapses by engaging and integrating all stakeholders in the innovation process from the onset of research”.

This interdisciplinary research approach has been a hallmark of Paul Vlek’s career working in Africa, Uzbekistan and elsewhere to ensure the research outcomes lead to innovation and adopted new practice. An example was the GLOWA Volta project in West Africa (2000-2010), an interdisciplinary program addressing the impact of global climate change and water management in the region.

The award is presented by the Global Confederation of Higher Education Associations for Agricultural and Life Sciences (GCHERA), with Nanjing Agricultural University (NAU). They established the GCHERA World Agricultural Prize, which was first awarded in 2013, to recognize the contribution of a faculty member from an agricultural and life science university who has significantly contributed to the mission of the university through education, research and knowledge transfer for the benefit of society. This annual award is given for the second time in 2014.

Professor ZHOU Guanghong, the President of Nanjing Agricultural University (NAU), welcomed Paul Vlek to the GCHERA 2014 World Agricultural Prize Award Ceremony on September 20 and John Kennelly, President of GCHERA, announced him as the World Agriculture Prize Laureate 2014 during GCHERA’s Annual Meeting at NAU.

John Kennelly held up Professor Paul Vlek as a most deserving recipient of the World Agriculture Prize based on his outstanding contributions to education, research and service on the sustainable use of natural resources over a career that has spanned 40 years.

“This recognition as an example to others is particularly timely as we face the challenge of reducing the environmental footprint of agriculture while increasing food production to meet the needs of a rapidly growing world population,” he said.

In his acceptance speech Paul Vlek highlighted that “agriculture is a complex socio-ecological endeavour with many trade-offs. To better guide our land-stewards (farmers) and policymakers, the next generation of agricultural scientists must be trained in the modern tools of complexity science and be able to work across disciplines and with multiple partners and stakeholders. “

“Only with such interdisciplinary understanding will the serious threat of land degradation to food security and to the delivery of essential ecosystem services be addressed. The cost of rehabilitation of degraded land, a non-renewable resource, can be prohibitive. The agricultural scientific community must place this concern much higher on its research and educational agendas.”

Christian Borgemeister, Director of ZEF, University of Bonn, welcomed the award recognising Paul Vlek’s distinguished career. A favourite expression of Paul Vlek is “While you are up and about you may as well do the best you can”, is a reflection of his motivation, conviction, dedication, and his leading by example which have made a tremendous impact on people. “The Center ZEF he help to build has become one of the world’s best Science and Technology Think Tanks and is listed among the best university-affiliated Think Tanks.”

“Paul Vlek has implemented research and education projects in South America, West and East Africa and Central Asia. Similar projects often end with the research findings published, but without bringing them to practitioners and policymakers. In contrast, the projects headed by Paul Vlek have ended in a different way by translating innovations into action and introducing development approaches to national agricultural policy-makers and practitioners.”

The Award Ceremony was followed by the 2014 GCHERA International Seminar and World Dialogue on Education and Innovation in Agriculture and Life Sciences, “Fostering Agriculture Innovation Systems Networks through the Linkage of University, Industry, and Government,” September 20-21.

BACKGROUND
The recipient Professor Paul Vlek

Since 1998, Paul Vlek has been the Director of the Center for Development Research (ZEF), which he co-founded, at Bonn University, Germany. He has held a number of senior appointments over his 40-year career both in Germany and overseas including Director of the Agro-Economic Division of the International Fertiliser Development Center (IFDC, USA), Director of the IFDC in Africa, Director of the Institute of Agronomy in the Tropics and Dean of the Faculty Agriculture at the Georg –August-University Göttingen, Germany, and founding Executive Director of West African Science Service Center on Climate Change and Adapted Land Use (WASCAL) in Ghana. In 2011, Paul Vlek was appointed to the UNESCO chair on Education for Sustainable Development at Urgench State University, Uzbekistan.

The World Agriculture Prize

The Global Confederation of Higher Education Associations for Agricultural and Life Sciences (GCHERA), with Nanjing Agricultural University (NAU), established the GCHERA World Agricultural Prize in 2012 to recognise the contribution of a faculty staff member from an agricultural and life science university who has significantly contributed to the mission of the university through education, research and knowledge transfer for the benefit of society. This annual award is given for the second time in 2014. NAU sponsors the prize.

The Global Confederation of Higher Education Associations for Agriculture and Life Sciences

The Global Confederation of Higher Education Associations for Agriculture and Life Sciences (GCHERA) was established in 1998 but in 2011 the governance structure was changed so that instead of individual university membership, its membership is now made up of 13 worldwide higher education associations who themselves represent individual universities in the agricultural and life sciences areas. For example, China is represented by the Education Professional Committee of the Chinese Association of Agricultural Sciences Societies, Europe is represented by the Association for European Life Science Universities, USA is represented by the Association of Public and Land Grant Universities and Canada is represented by the Association of Canadian Faculties of Agriculture and Veterinary Medicine.

The Mission of GCHERA is to encourage and support global co-operation among agricultural and life sciences higher education associations, and their member universities, so as to enhance innovation and leadership in education, research and outreach. GCHERA provides a forum for sharing of best practices as well as being a global voice on some of the most pressing challenges facing the world today. Agricultural and life science universities have a critical role to play in providing the human resources and the research and innovation needed to meet the challenge of feeding a rapidly growing world population whilst reducing the environmental footprint of our food and non food production systems.

For more information, please contact:

Bonn University : Mrs. Alma van der Veen aveen(at)uni-bonn.de

GCHERA: Dr Simon Heath secretariat(at)gchera.com

WASCAL: Ms Jelana Vajen press(at)wascal.org

RELATED LINKS

GCHERA: http://www.gchera.com

Nanjing Agricultural University: http://english.njau.edu.cn/

Center for Development Research (ZEF), University of Bonn: http://www.zef.de/index.php?id=zefhome

GCHERA Nanjing: http://wap.njau.edu.cn/Defaulten.aspx

WASCAL: www.wascal.org

Programme de Master WASCAL en changements climatiques et énergie

L’Université Abdou Moumouni de Niamey lance un programme de Master de deux ans sur les changements climatiques et énergie (MRP-CCE) à compter de l’année scolaire 2014-2015. Le programme offre une bourse complète aux candidats retenus. Les candidats potentiels sont invités à soumettre une demande pour la sélection.
Ce Programme de Master Recherche est ouvert aux meilleurs étudiants et ingénieurs avec une licence dans les disciplines scientifiques ou d’ingénierie avec au moins la Mention Assez-bien. Les candidats qui ont de fortes adptitudes en physique, chimie, génie civil, génie de l’environnement, génie électrique ou génie mécanique sont préférés.

Conditions d’admissibilité au programme:
• Etre un citoyen d’un des pays membres de WASCAL: Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Mali, Niger, Nigeria et Togo
• Envoyer une lettre de motivation
• Fournir des relevés de notes et des copies de diplômes
• Fournir des lettres de recommandation de trois références
• Fournir un curriculum vitae
• Les candidats francophones doivent avoir un niveau intermediaire en anglais
Date limite: 15 Aout 2014

Cote d’Ivoire: Changement climatique – Les membres du programme Wascal consolident leurs acquis

Par Hervé Adou

Selon Laurent Sedogo, directeur exécutif du programme, les premiers diplômés des différentes écoles, situées à Bingerville, « seront opérationnels début 2015 ».

Il s’agit de 158 étudiants issus de six écoles doctorales et quatre autres de niveau master, après trois ans de formation. Changement climatique: Les membres du programme Wascal consolident leurs acquis

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Il s’agit de 158 étudiants issus de six écoles doctorales et quatre autres de niveau master, après trois ans de formation. Changement climatique: Les membres du programme Wascal consolident leurs acquis

WASCAL officially becomes an international organization of West African States

The establishment of WASCAL as an international organization is an important step towards the goal to install WASCAL as a permanent research facility in West Africa which will serve as a regional climate service center. “Research projects are usually limited in time. As a consequence, researchers but also their findings and research infrastructure often leave the study region after finishing the project. With the establishment of WASCAL as a regional international organization we want to ensure access to research findings and infrastructure in West Africa in the long term”, explains Prof. Dr. Paul Vlek, Executive Director of WASCAL and Director at the Center for Development Research in Bonn. Moreover, by recognizing the WASCAL agreement, the participating West African countries will start to contribute financially to WASCAL’s budget from 2013 onwards. “In the future WASCAL will be a common resource for the West African States, funded by the participating countries and international donors”, Vlek states further.

WASCAL at the Africa Days of the Federal Ministry of Education and Research

Under the motto “Germany and Africa working together for the future” the German Federal Ministry of Education and Research (BMBF) invited approximately 700 experts from Africa and Germany to participate in the Africa Days in Berlin. The main objective of the event was to discuss the future of African-German cooperation in education and research. Four workshop panels focused on topics such as climate, bioeconomy, health and transformation. WASCAL was present with representatives from its ten member countries, who together with members of WASCALs sister organization SASSCAL, participated in the workshop panel on climate.

Read more:

Africa and Germany working together for the future

L’Afrique et l’Allemagne main dans la main pour l’avenir

Afrika und Deutschland arbeiten gemeinsam an Zukunft

WASCAL Annual Board Meeting 2014

This year’s Regular Annual Board Meeting of the WASCAL Governing Board was hosted by ZEF in Bonn. Chairman of the Governing Board Prof. Dr. Modibo Haidara and Executive Director Dr. Sédogo were especially delighted to welcome Dr. Henry Mwima, Director of WASCAL’s sister organization SASSCAL (South African Science Service Centre for Climate Change and Adaptive Land Management) as a visitor to the Board Meeting. During the two day event WASCAL Senior and Junior Researchers presented the Governing Board with their research in a poster session.

Following the Board Meeting, the Members of the WASCAL Governing Board proceeded to Berlin to participate in the Africa Days of the BMBF which took place in Berlin on March 16-18, 2014.

WASCAL welcomes its New Executive Director: Dr. Laurent Sédogo

Having joined WASCAL from the beginning of January 2014, Dr. Sédogo will officially take over the mandate of the executive director from his predecessor and founding Director of WASCAL Professor Paul Vlek on February 14, 2014. “Climate Change is one of the biggest challenges in Africa’s development agenda. I share the vision of WASCAL to take science and technique and put it into practice and on the development agenda in a way that will touch local people. At the same time, WASCAL strives to foster development on the level of policy-making. It will be a big challenge for WASCAL to bring together the local and national levels of decision and policy making regarding sustainable land management under climate threats. That is why I was very happy to be selected as executive director,” says Sédogo.

Vitae
Dr. Laurent Sédogo graduated with a PhD in sustainable management of natural resources from ITC in Enschede and Wageningen University, The Netherlands in 2002. Before this he had obtained a Master of Science in GIS at Wageningen Agricultural University.

Dr. Sédogo worked with institutions dealing with land degradation and desertification control at the national level and the regional level (Interstate Committee for Drought Control in the Sahel (CILSS). He held a variety of political offices, starting with the post of Minister of Farmers’ Cooperatives from 1988 to 1990. After completing his PhD he returned to the political office as Minister of the Environment and Quality of Life until 2008, followed by the post of Minister of Agriculture, Water Resources and Fishery. He was a Member of Parliament until joining WASCAL in January 2013.

Laurent Sédogo was Vice President of the Governing Council of UNEP and Member of the Governing Council of the OSS (Sahara and Sahel Observatory) and is a member of the Centre for Sustainable Development Initiative.

Link to full vitae

Watch a video interview with Laurent Sédogo on the Center of Development Research’s youtube channel

The winner is: Second “Farmer Innovation Contest” awards Ghanaian farmer

The objective of the contest is to identify locally developed farmer innovations which can complement existing extension packages after further scientific evaluation. Local innovations have the advantage that they are generally adapted to the conditions in which a farmer operates. Therefore, they are likely to be easily adopted by fellow farmers.

How Bukari Hassan tackled his termite problem

This year’s regional winner of the Farmer Innovation Contest in Upper East Ghana tackled a termite problem by luring carnivore ants as a natural deterrent for termites. Termites used to kill Bukari Hassan’s young tree seedlings until he started to lure what he refers to as ‘Tiger Ants’ using bones – left-overs from the butcher or his own family’s meals. The ants feast on the bones and scare the termites away allowing his trees to grow until they are strong enough to defend themselves. This way Mr. Hassan managed to solve his number one problem of growing trees. Meanwhile he has established a small forest with trees that provide him with fruit, nuts, medicine, firewood and timber. This is good news for Upper East Ghana, where tree cover generally decreases. Mr. Hassan was awarded a motorcycle.

Co-awardees

Together with Mr. Hassan, eight other farmer innovators in Upper East Ghana received district awards (water pumps or house roofing sheets, each with an approximate value of 200 Euros). They all found new ways to address pressing problems such as poultry and other livestock diseases, pest infestations of grains during storage, or limited accessibility of materials for the intensification of production.

Laudatio

In his speech on Farmer’s Day on December 6, 2013, Dr. Tobias Wünscher, ZEF senior researcher and coordinator of the contest stressed that “our winners provide clear evidence that farmers are more than adopters of externally developed technologies. They develop their own solutions for their very own problems with the limited resources that are available to them – this is what makes these innovations so special“!

There will be at least two more rounds of the contest in 2014 and 2015.

Contact: Tobias Wünscher

Deutsch-westafrikanisches Forschungsprojekt WASCAL ist eine internationale Organisation – Koordination der Deutschen Partner liegt beim Zentrum für Entwicklungsforschung

WASCAL – das West African Science Service Center on Climate Change and Adapted Land Use ist ein gemeinsames Projekt von 10 westafrikanischen Staaten und deutschen Forschungseinrichtungen. Finanziert durch das Bundesministerium für Bildung und Forschung (BMBF), wird das Projekt am Zentrum für Entwicklungsforschung (ZEF) der Universität Bonn ausgeführt, mit dem Ziel eine dauerhafte Forschungseinrichtung in Westafrika zu schaffen, die als regionales Klimaservicezentrum fungiert. Mit der Bestätigung durch sechs der zehn beteiligten westafrikanischen Partnerländer und der Westafrikanischen Wirtschaftsgemeinschaft ECOWAS, ist WASCAL nun offiziell als regionale internationale Organisation gegründet worden.
Nachhaltige Strukturen schaffen – Klimakompetenz in Westafrika langfristig steigern

Basierend auf klimarelevanten Forschungsergebnissen sollen die westafrikanischen Länder in die Lage versetzt werden, Entscheidungen für eine nachhaltige Land- und Wassernutzung treffen zu können. „Forschungsprojekte sind in der Regel auf einen befristeten Zeitraum angelegt. Das bedeutet aber, dass mit dem Ende des Projektes auch die Wissenschaftler, und damit die Ergebnisse und die Infrastruktur, das Forschungsgebiet wieder verlassen. Mit der Etablierung von WASCAL als regionale internationale Organisation soll sichergestellt werden, dass sowohl Forschungsergebnisse als auch Forschungsinfrastrukturen langfristig in Westafrika zugänglich und nutzbar sind“, erklärt Professor Dr. Paul Vlek, Direktor von WASCAL und des Zentrums für Entwicklungsforschung in Bonn. Dies bedeutet aber auch, dass sich die Partnerländer ab 2013 mit steigenden Anteilen an der Finanzierung von WASCAL beteiligten werden. „In Zukunft wird WASCAL als Klimazentrum eine gemeinsame Ressource für die westafrikanischen Staaten sein, finanziert durch die beteiligten Länder und internationale Geldgeber“, erläutert Vlek weiter.

Daten, Experten und technische Infrastruktur für Westafrika

Der Klimawandel stellt für Westafrika eine Herausforderung dar. Obwohl Afrika der Kontinent mit den geringsten Schadstoffemissionen ist, wird er voraussichtlich von den Folgen des Klimawandels besonders stark betroffen sein. Bislang fehlen in Westafrika nicht nur umfassende Daten zum Klimawandel, sondern auch die technische Infrastruktur und Experten, um die Daten auszuwerten und Schlüsse daraus zu ziehen. Daher setzt WASCAL auf drei Komponenten: In zehn Graduiertenschulen an Universitäten der Partnerländer werden Masterstudenten und Doktoranden ausgebildet. In einem interdisziplinären Forschungsprogramm untersuchen deutsche und westafrikanische Forscher Fragen zur Land- und Wassernutzung in Verbindung mit Ökosystemleistungen und der Ernährungssicherung in Westafrika. Ein Kompetenzzentrum in Ouagadougou, Burkina Faso, bündelt die Forschungsarbeiten und berät Politiker, Vertreter aus der Wirtschaft und die Bevölkerung.

Benin, Burkina Faso, Gambia, Ghana, Niger und Togo haben WASCAL bestätigt

Die Initiative zur Gründung von WASCAL ging vom Bundesministerium für Bildung und Forschung (BMBF) gemeinsam mit den Ministerien und Regierungen der zehn beteiligten westafrikanischen Staaten aus. Neben den Staaten Benin, Burkina Faso, Gambia, Ghana, Niger und Togo, die ihre offizielle Anerkennung bereits mitgeteilt haben, sind Elfenbeinküste, Mali, Nigeria und Senegal an WASCAL beteiligt. 2010 begann die gemeinsame Planungsphase, 2012 die Umsetzungsphase. WASCAL wird vom BMBF bis 2016 mit insgesamt 50 Millionen Euro gefördert. Neben den westafrikanischen Partnern sind Forschungseinrichtungen aus ganz Deutschland beteiligt. Die Koordination der Deutschen Partner liegt beim Zentrum für Entwicklungsforschung (ZEF) der Universität Bonn.
Kontakt:
Jelana Vajen
Zentrum für Entwicklungsforschung (ZEF) der Universität Bonn
Presse- und Öffentlichkeitsarbeit WASCAL
Tel.: 0228-73-4949
press@wascal.org

Weitere Informationen unter: www.wascal.org